C’est ici qu’a lieu le débat autour de la place des groupes électrogènes sur les radeaux et plus particulièrement leurs enjeux en tant que moyen d’expression festif
Je compte sur vous pour rester poli et courtois. Que ce débat se passe dans le respect de tout un•e chacun•e
Je reposte mon message en guise d’ouverture pour ce debat :
[TUTTO DÉBAT]
(Et non un tuto sur comment débattre)
Coucou la compagnie, une question me brûle sur les lèvres un sujet mordant depuis bien trop longtemps
J’aimerais donc proposer un débat autour d’un sujet : LES GROUPES ÉLECTROGÈNES
Sans faire tout un argumentaire, voici un peu de contexte pour accompagner ce débat.
Tutto blu est une forme de rassemblement et d’expression libre en quête d’exploration de nouveaux imaginaires. Et la fête et notre manière de la pratiquer n’y échappera pas on en a fait l’expérience durant l’édition dernière où une bribe de débat circulait : la teuf ou pas la teuf sur les radeaux.
L’an dernier elle a eu lieu, initiée par une minorité de personnes amenant avec son lot d’insécurités innerantes à nos constructions flottantes un peu précaire mais rappelant aussi son caractère sonore oppressif pour qui voudrait s’en soustraire.
Évidement il est juste de rappeler que aucune embarcation n’est tenu de participer à ces événements ponctuels du rassemblement (mais c’est une autre discussion)
Ici, je voulais porter votre attention sur le sens qu’on a de la fête et la manière dont on la fait.
L’an dernier c’est transposé sur l’eau ce qu’on a toujours su faire par le passé : du son amplifié, des lasers et cie. Non sans rappeler pour certain•es les années « Origines » et autres festivals.
Mais Tutto blu se veut différent, je pense (j’espère). C’est bien connu, de la contrainte naît la créativité. Par l’absence de groupe électrogène (qui ceci dit en passant est une ressource de privilégié•es sur un radeaux) permettra de laisser de la place à d’autres formes de fête, sûrement plus acoustique, à d’autres forment de diversissements plus respecteuse de celles et ceux qui ont décidé de ne pas y prendre part à commencer par la faune et la flore qui nous entoure. Parce que ne l’oublions pas Tutto blu c’est avant tout une immersion dans la nature.
Je pense ne pas me tromper en disant que ce qui nous a le plus marqué l’an dernier c’étaient ce temps suspendu coupé de l’agitation et de la sophistication de nos villes pour retourner à des jours simples et à notre état et notre rythme naturel.
Vivement la grande dérive 2024 de Tutto J’Sais Pas Quoi Encore
Je compte sur vous pour rester poli et courtois. Que ce débat se passe dans le respect de tout un•e chacun•e
Je reposte mon message en guise d’ouverture pour ce debat :
[TUTTO DÉBAT]
(Et non un tuto sur comment débattre)
Coucou la compagnie, une question me brûle sur les lèvres un sujet mordant depuis bien trop longtemps
J’aimerais donc proposer un débat autour d’un sujet : LES GROUPES ÉLECTROGÈNES
Sans faire tout un argumentaire, voici un peu de contexte pour accompagner ce débat.
Tutto blu est une forme de rassemblement et d’expression libre en quête d’exploration de nouveaux imaginaires. Et la fête et notre manière de la pratiquer n’y échappera pas on en a fait l’expérience durant l’édition dernière où une bribe de débat circulait : la teuf ou pas la teuf sur les radeaux.
L’an dernier elle a eu lieu, initiée par une minorité de personnes amenant avec son lot d’insécurités innerantes à nos constructions flottantes un peu précaire mais rappelant aussi son caractère sonore oppressif pour qui voudrait s’en soustraire.
Évidement il est juste de rappeler que aucune embarcation n’est tenu de participer à ces événements ponctuels du rassemblement (mais c’est une autre discussion)
Ici, je voulais porter votre attention sur le sens qu’on a de la fête et la manière dont on la fait.
L’an dernier c’est transposé sur l’eau ce qu’on a toujours su faire par le passé : du son amplifié, des lasers et cie. Non sans rappeler pour certain•es les années « Origines » et autres festivals.
Mais Tutto blu se veut différent, je pense (j’espère). C’est bien connu, de la contrainte naît la créativité. Par l’absence de groupe électrogène (qui ceci dit en passant est une ressource de privilégié•es sur un radeaux) permettra de laisser de la place à d’autres formes de fête, sûrement plus acoustique, à d’autres forment de diversissements plus respecteuse de celles et ceux qui ont décidé de ne pas y prendre part à commencer par la faune et la flore qui nous entoure. Parce que ne l’oublions pas Tutto blu c’est avant tout une immersion dans la nature.
Je pense ne pas me tromper en disant que ce qui nous a le plus marqué l’an dernier c’étaient ce temps suspendu coupé de l’agitation et de la sophistication de nos villes pour retourner à des jours simples et à notre état et notre rythme naturel.
Vivement la grande dérive 2024 de Tutto J’Sais Pas Quoi Encore